T'as d'beaux restes, tu sais...
...ben non, pas moi...
(Moi, c'est pas des restes, c'est des entiers...)
Je parle des formidables inondations que la dépression tropicale Inès nous a procurées en plus de la rentrée reportée à lundi (pour schtretts n° 2 qui passe à collégienne, cette année, voui médéme, et qui n'a donc pas besoin de s'expatrier tout loin comme sa grande soeur, voir l'article précédent si ça te branche.)
(bouhouhou...)
Inondations que, comme de bien entendu, je n'ai pas pu photographier sur le vif pour cause d'emmenage hier de grande schtretts à l'internat à Nouméa. Et que pour ça, il faut compter cinq heures de route, en plus des trois heures d'inscriptions diverses sur place, eh oui. Et que pas qu' ça à foutre de s'arrêter sur le bord de la route toutes les trois secondes pour attraper toute cette beauté. Désolée, cette fois, c'est seulement dans mes yeux.
Mais bon, ce matin de glandage supplémentaire a été mis à profit pour la billebaude. J'en ai ramené quand même quelques trucs sympas car Inès avait de beaux restes que je te livre, là, tout de suite. Evidement, si que j'aurais un autre appareil que mon petit compact, tu pleurerais ta race encore plus. Mais c'est pour bientôt. Et alors là!...
Parfois, j'ai des crises d'autosatisfaction primaire, je m'aime et je me trouve géniale. Justement, c'est aujourd'hui que ça tombe alors j'en profite.
D'autant que la billebaude a commencé avec toute une troupe de militaires tous jeunes et beaux, en treillis et masques de plongée, en train d'apprendre à, je cite (oui, j'ai demandé au jeune et beau et souriant chef c'était quoi, leur jeu. C'était pas "j'apprends à éviter les requins en treillis dans la mer dégueulasse", ni "je joue à faire semblant que mes palmes jaunes fluo c'est un famas étanche"), donc, disais-je, je cite: "j'apprends à prendre une plage". Ne ricane pas, ça n'a rien de sexuel. Moi, j'ai bien ricané par contre, et j'aurais aimé te montrer mes clichés, mais ça ne donne absolument rien, hélas.
D'accord, je me tais. Je te montre les beaux restes d'Inès.
(Moi, c'est pas des restes, c'est des entiers...)
Je parle des formidables inondations que la dépression tropicale Inès nous a procurées en plus de la rentrée reportée à lundi (pour schtretts n° 2 qui passe à collégienne, cette année, voui médéme, et qui n'a donc pas besoin de s'expatrier tout loin comme sa grande soeur, voir l'article précédent si ça te branche.)
(bouhouhou...)
Inondations que, comme de bien entendu, je n'ai pas pu photographier sur le vif pour cause d'emmenage hier de grande schtretts à l'internat à Nouméa. Et que pour ça, il faut compter cinq heures de route, en plus des trois heures d'inscriptions diverses sur place, eh oui. Et que pas qu' ça à foutre de s'arrêter sur le bord de la route toutes les trois secondes pour attraper toute cette beauté. Désolée, cette fois, c'est seulement dans mes yeux.
Mais bon, ce matin de glandage supplémentaire a été mis à profit pour la billebaude. J'en ai ramené quand même quelques trucs sympas car Inès avait de beaux restes que je te livre, là, tout de suite. Evidement, si que j'aurais un autre appareil que mon petit compact, tu pleurerais ta race encore plus. Mais c'est pour bientôt. Et alors là!...
Parfois, j'ai des crises d'autosatisfaction primaire, je m'aime et je me trouve géniale. Justement, c'est aujourd'hui que ça tombe alors j'en profite.
D'autant que la billebaude a commencé avec toute une troupe de militaires tous jeunes et beaux, en treillis et masques de plongée, en train d'apprendre à, je cite (oui, j'ai demandé au jeune et beau et souriant chef c'était quoi, leur jeu. C'était pas "j'apprends à éviter les requins en treillis dans la mer dégueulasse", ni "je joue à faire semblant que mes palmes jaunes fluo c'est un famas étanche"), donc, disais-je, je cite: "j'apprends à prendre une plage". Ne ricane pas, ça n'a rien de sexuel. Moi, j'ai bien ricané par contre, et j'aurais aimé te montrer mes clichés, mais ça ne donne absolument rien, hélas.
D'accord, je me tais. Je te montre les beaux restes d'Inès.